Au crépuscule du jour, dans l’ombre du passé,
Les souvenirs s’éveillent, doux et contrastés.
Les rires résonnent, les larmes perlent,
Et la nostalgie enveloppe, de son voile irréel.
Les images floues se dessinent, comme des échos lointains,
Des instants figés dans le temps, comme des reflets incertains.
Les joies éphémères, les peines enfouies,
Les souvenirs enfouis, dans les méandres de la vie.
Dans le silence de l’oubli, ils attendent patiemment,
Que le temps les réveille, doucement.
Car même dans l’obscurité de l’oubli,
Les souvenirs demeurent, immortels et infinis.
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